PROGRAMMES SCIENTIFIQUES

ARCTIC CHANGE

Mesure des gaz à effet de serre

Développé et mené en partenariat avec l’Université de Genève, le programme pionnier « Arctic Change » a pour objectif de monitorer en continu les concentrations de méthane et de dioxyde de carbone dans l’air et dans l’eau, dans le contexte du réchauffement climatique.

Découvrez le programme
Mauritius-arctic-change
Daniel-mcGinnis

« Les données sur l’Arctique manquement dramatiquement donc tout ce que nous y allons collecter sera d’une valeur capitale pour alimenter les bases de données globales. Nous allons ainsi transposer dans cette région du monde le programme pilote que nous avons mené autour de la moitié du globe dans le cadre de la précédente expédition. »

Prof. Daniel McGinnis,
Chef du Groupe de physique aquatique, Faculté des Sciences, Université de Genève

MICROMÉGAS

Pollution méso et microplastique

Mis en œuvre en partenariat avec l’association suisse Oceaneye, le programme Micromégas consiste à effectuer des prélèvements réguliers d’eau de surface pour en évaluer la teneur en polluants méso et microplastiques.

Au cœur du plastique
Micromegas echantillons ©Arnaud Conne-fondation pacifique

Crédit Photo : Arnaud Conne

pascal-hagmann

« Notre partenariat avec l’expédition Arctique nous permettra de disposer de nouvelles données qui contribueront à comprendre la distribution et les mécanismes de transport des déchets plastiques dans cette région. »

Pascal Hagmann,
ingénieur EPFL, fondateur de Oceaneye

EAR TO THE WILD

Pollution sonore des océans

Le programme pilote Ear to The Wild, mené en partenariat avec le Laboratoire d’application bioacoustiques de l’Université polytechnique de Catalogne, consiste à cartographier le paysage sonore des océans via un smartphone et une application innovante à des fins de préservation de la faune marine dans un contexte de pollution sonore accrue.

À l’écoute des océans
Ear To The Wild arctique expedition
Michel-Andre

« L’exploitation industrielle de l’océan s’est accompagnée de l’introduction incontrôlée de sources de pollution sonore qui ont envahi l’ensemble de son espace vital et ont ajouté une menace dévastatrice invisible aux autres déchets de nos activités. »

Prof. Michel André,
directeur du Laboratoire d’Applications bioacoustiques (LAB); Université polytechnique de Catalogne